Mon nom est Emelia Rosa,

l’ âme créatrice derrière La Rosamore

 

Formée à l’Académie des Beaux-Arts, j’ai d’abord exercé comme costumière, façonnant des étoffes pour magnifier les silhouettes d’antan. Aujourd’hui, ce sont les intérieurs que j’habille de la même ferveur en parant meubles, abat-jours et coussins de raffinement et de poésie.

 

Je me suis rapidement passionnée pour les objets anciens, témoins silencieux des siècles passés, et plus encore par les antiquités religieuses où les Madones au charme intemporel semblent murmurer des secrets oubliés.

 

De cette fascination pour le passé est née ma vocation : devenir créatrice en arts décoratifs anciens afin de créer, restaurer, réinventer et révéler la beauté endormie des objets oubliés pour offrir une atmosphère singulière aux lieux qui les accueillent.

 

Tantôt tisseuse de mémoires, tantôt romancière, couturière d’étoffes anciennes, patineuse de meubles ou encore créatrice de coussins médaillons et d’abat-jours victoriens, mes journées sont chorégraphiées au rythme des pinceaux, des fils et des dentelles, tel un ballet quotidien où gestes et matières valsent ensemble, toujours sous l’œil bienveillant de nos vieux chiens et chats rescapés, compagnons fragiles que nous recueillons, ma tendre Darling – ma maman – et moi, et qui accompagnent au quotidien mon travail d’une tendresse paisible.

 

La Rosamore est le fruit de ce dialogue entre mémoire, matières et gestes créatifs : un univers où chaque création se pare d’élégance et de sensibilité, insufflant aux intérieurs d’aujourd’hui une aura de raffinement et de mystère.